
Athéna Recherche et Innovation
Onglets principaux
À propos de votre organisation / profil
Chez Athéna Recherche et Innovation, nous récupérons les eaux usées et les déchets organiques des industriels de l'agroalimentaire pour produire de l'hydrogène avec. Nous le faisons grâce à des... bactéries.
Notre objectif est de créer des écosystèmes partants de l'usine agroalimentaire. Nous récupérons leurs eaux usées et leurs déchets et nous produisons de l'hydrogène avec. Cet hydrogène est ensuite revendu à l'industriel en vue de l'utiliser soit pour produire de la chaleur ou de la vapeur soit pour sa logistique. A titre d'exemple, une laiterie va quotidiennement collecter du lait chez des agriculteurs et il est possible de transformer leurs camions gasoil en camion à hydrogène.
Problème à résoudre :
Les industriels de l'agroalimentaire ont 3 problèmes principaux à résoudre :
- - Ils produisent de grandes quantités d'eaux usées et de déchets. Cela leur coûte cher à traiter ;
- - Ils consomment de grandes quantités d'énergies pour leur process et leur logistique ;
- - Ils doivent réduire leur empreinte carbone et leurs consommations d'énergies.
Notre premier client, la laiterie Saint-Père (Agromousquetaire) est convaincu que nous pouvons les aider à résoudre en partie ces problèmes.
Comment les aider ?
Ces eaux usées et ces déchets sont en réalité une formidable source d'énergie pour le monde du vivant. Ils sont notamment composés de matières organiques (sucres, protéines, lipides) et de minéraux, tout ce qui est nécessaire à un microorganisme pour se développer.
Chez Athéna, nous pensons que ne pas valoriser ces déchets revient à gaspiller de la matière et à créer non seulement des dépenses inutiles mais aussi à créer un manque à gagner car ces molécules peuvent créer de la valeur.
Nous avons donc tout intérêt à les valoriser.
Ainsi, nous avons spécifiquement sélectionné des bactéries capables de produire de l'hydrogène à partir de ces matières organiques. Elles le font vite et bien puisqu'il leur faut moins de 12 heures pour consommer les matières organiques et ainsi dépolluer l'eau qui peut ensuite soit être rejetée dans le milieu naturel soit être réemployé (arrosage agricole, process, ...).
A titre d'information, le temps de traitement traditionnel dans une STEP est compris entre 20 et 30 jours. La rapidité de notre procédé permet d'avoir des installations plus compactes.
Quel modèle économique ?
Durant nos échanges avec différents acteurs, nous avons rapidement conclu ensemble que le métier d'un laitier était de produire du lait, du beurre et du fromage et pas de l'hydrogène. La production d'énergie est aussi un métier de spécialistes. Nous aurons donc la responsabilité de concevoir, construire et exploiter les unités de production.
Par ailleurs, ils nous ont expliqué que leurs métiers étaient également en pleine mutation et qu'ils avaient des investissements importants à faire dans leurs cœurs de métier ce qui limitait leurs capacités d'investissements dans ce type d'outils.
Nous avons donc décidé de leur proposé un modèle économique basé sur la fourniture d'un service intégré de type "Energy As A Service".
Nous faisons le traitement de leurs déchets et nous leur revendons l'hydrogène.
Pour financer les usines, nous créerons des SPV, modèle largement éprouvé dans l'énergie, notamment fossile. Nous nous appuierons sur la puissance financière des fonds infrastructures qui sont à la recherche de ce type de projet.
Nous avons démontré que notre projet était économiquement viable tant pour l'industriel qui fait des économies sur le traitement de ses eaux usées et sur sa fourniture d'énergie (10 à 15%) que pour les actionnaires des SPV (TRI élevé) et Athéna qui atteint rapidement son point d'équilibre. Nous générons tant des revenus spots (vente des usines) que des revenus récurrents (licencing, mise à disposition d'équipe, ...).
Traction marché ?
Nous avons testé de nombreux effluents et déchets (eaux de cuissons, vinasses de distillerie, marc de raisin, ...) et cela fonctionne sur un large spectre de matières utilisables. Aujourd'hui, nous travaillons principalement avec l'industrie laitière car, d'une part, leurs effluents sont particulièrement adaptés à notre procédé (facilité de traitement), et, d'autre part, c'est l'industrie agroalimentaire qui consomme le plus d'eaux et d'énergies.
Nous venons d'installer notre premier démonstrateur préindustriel au sein de la laiterie Saint-Père du groupe Agromousquetaire (56 usines, 4,7 Mds € de CA), nous installerons notre pilote industriel de 30 m3 également chez eux en vue de construire notre première usine d'ici fin 2027.
Nous sommes en discussion avec plusieurs autres laitiers qui ont soit des projets d'expansions soit des besoins d'amélioration de leurs unités de traitement. Nous constituons ainsi notre pipe de projets à venir.
Gain environnemental :
Dans la nature il n'y a pas de déchets donc nous ne voulons pas en produire non plus. Ainsi, au-delà de la production de notre biohydrogène, nos moûts de fermentation sont transformés en biochars qui permettent faire du CCS
Réseau (0)
Il n'y a pas encore d'organisations dans le réseau.
Activités récentes

Athéna Recherche et Innovation a mis hors ligne une levée de fond levée de fonds.

Athéna Recherche et Innovation est désormais membre de la communauté EIC ACCESS+.

Athéna Recherche et Innovation a mis à jour sa levée de fonds.

Athéna Recherche et Innovation a mis à jour sa levée de fonds.

Le document de type pitchdeck a été mis à jour dans la dataroom.

Athéna Recherche et Innovation a publié une levée de fonds.

La dataroom a été mise à jour.

Ludovic BRIAND a rejoint Athéna Recherche et Innovation.