MADIRCOM

ENGAGEMENT
LE RECRUTEMENT AU SUCCES

Chez nous, aucun engagement, nous proposons aux entreprises de recruter à la performance. Notre slogan: "No Win, No Fee".

L'entreprise ne paye la prestation qu'au moment de la validation du recrutement. Cerise sur le gâteau, nous garantissons toujours la période d'essai.

MaDirCom permet aux entreprises (StartUps, TPE-PME et ETI) de recruter autrement, sans engagement, dans des délais raisonnables des candidats motivés et de valeurs.
Le processus de recrutement est accéléré car nous utilisons les nouvelles technologies mais également les ressources traditionnelles et alternatives pour sourcer les candidats.

MODERNITE
TRANSFORMATION DU MARCHE

Nous proposons aux entreprises de recruter des salariés, mais aussi des formats modernes de collaboration.

De l'auto-entrepreneur, en passant par le portage salarial ou les agents co', tous les métiers et tous les secteurs sont concernés.

Devenir freelance, c'est aimer la polyvalence, l'indépendance, les challenges, le changement, la réactivité, la souplesse...

PARTAGE
ENSEMBLE, DEVELOPPONS LES RESEAUX COLLABORATIFS

Tout le monde connait une personne qui cherche un emploi ? Lui parler de MaDirCom, c'est lui rendre service !

Recommander une personne de son réseau sur un de nos postes permet au candidat de retrouver un emploi plus rapidement et permet au "parrain" de recevoir une gratification.

Les enquêtes le disent tous les jours... Le retour à l'emploi se fait principalement via le réseau, et non plus uniquement avec les petites annonces.

ETHIQUE
ACTEUR DU RECRUTEMENT RESPONSABLE

Loin des cabinets de chasse qui préfèrent "débaucher" des candidats en poste, MaDirCom privilégie le recrutement responsable.

Il s'agit de mettre en avant volontairement des candidats demandeurs d'emploi lors du processus de recrutement. Chez MaDirCom, nous sommes convaincus que de nombreux candidats sans emploi sont tout autant compétents, motivés et opérationnels que les autres.

Aujourd'hui, plus que jamais, accompagner les candidats vers un emploi durable et réaliste est une nécessité économique et sociétale.

MaDirCom s'engage au quotidien pour inverser la courbe du chômage!

Parce qu'il en est de notre responsabilité personnelle et collective d'agir pour faire se rencontrer l'offre et la demande de travail.

Idée reçue n°1 : Les cabinets recrutent des clones
Chez MaDirCom, nous recrutons des personnalités avant de recruter des diplômes.
Nous aimons aussi les gens au parcours "atypique" ou qui osent le changement.
Notre savons lire entre les lignes du CV et des profils LinkedIn pour trouver vos futurs talents.
Idée reçue n°2 : Les cabinets de recrutement exigent l'exclusivité
Chez MaDirCom, vous n'êtes pas pieds et mains liés.
Vous pouvez nous mettre en concurrence, chercher par vous même...On aime les challenges ;)
L'important pour nous est de vous aider à trouver rapidement le bon candidat.

Idée reçue n°3 : Les cabinets demandent un acompte pour démarrer la mission
Chez MaDirCom, vous ne payez la prestation que si le recrutement est réalisé.
Dès le démarrage de la mission, vous savez exactement le coût du recrutement,
sans aucune surprise, ni options cachées. Tout est transparent.

Idée reçue n°4 : Les cabinets de recrutement sont réservés à la chasse de tête
Chez MaDirCom, nos consultants ont un parcours varié qui nous permet de répondre à tous vos besoins.
Que vous recrutiez du cadre ou du non cadre, nous savons répondre à votre demande.
Notre agence est généraliste, nous connaissons vos métiers, vos contraintes et vos exigences.

Idée reçue n°5 : Les cabinets de recrutement utilisent les mêmes outils que mon service RH
Chez MaDirCom, nos clients et candidats apprécient nos méthodes de recrutement variées, innovantes et éprouvées.
L'avantage stratégique d'un partenariat RPO (recruitment Process outsourcig) est d'étendre l'acquisition
de talents au-delà des canaux existants. Vous ne payez pas pour nos efforts, mais pour nos résultats !

Idée reçue n°6 : Passer par un cabinet, coûte cher, très cher
Chez MaDirCom, nos tarifs sont adaptés au budget et à la réalité économique de nos clients qui sont des entrepreneurs avant tout. Nous voulons être le partenaire des Startups, TPE et PME qui recrutent en France,
parce que nous sommes persuadés que faire grandir les petites entreprises, c'est faire grandir la France.

Idée reçue n°7 : Travailler avec des recruteurs à la performance n'est pas professionnel
Chez MaDirCom, le client est au centre de nos préoccupations, tout comme le candidat que l'on vous propose.
Nous publions nos offres en respectant la confidentialité du nom du client et nos candidats sont triés sur le volet.
Notre concept de recrutement au succès prône la qualité du service et non la quantité.

Idée reçue n°8 : Les cabinets de recrutement ont des locaux sur les Champs Elysées
Chez MaDirCom, nous utilisons les outils modernes pour rencontrer nos clients et nos candidats :
Skype, entretien vidéo, location ponctuelle de salle (merci Bird Office), etc.
Réduire nos coûts nous permet de vous offrir des tarifs bas pour vos recrutements.

Idée reçue n°9 : Les consultants en recrutement sont habillés comme des pingouins
Chez MaDirCom, être bien habillé, ne signifie pas être en costume ou tailleur toute la journée.
L'esprit Startup nous habite et nous habille au quotidien.
Nous savons que ce qui compte pour vous n'est pas la garde-robe.

Idée reçue n°10 : Externaliser le recrutement va compliquer le processus en interne.
Chez MaDirCom, nous sommes passionnés par le sourcing et notre objectif est de faire se rencontrer candidats et entreprises en utilisant des moyens simples et pleins de bon sens. Nous n'allons pas vous embêter avec des reportings à tout va ou des réunions de prises de brief ultra ennuyeuses... café chouquettes, skype, téléphone, sms, 30 min chrono nous suffisent à démarrer une mission. Concentrez-vous sur votre business...MaDirCom recrute pour vous :)

J’ai été convié il y a quelques jours (mars 2016) à une petite manifestation organisée par une association de chasseurs de têtes et de cabinets de recrutement. Il s’agissait de débattre sur les nouvelles formes de recrutement. Une start-up du secteur venait également présenter son outil, ses avantages pour la profession, etc. L’affiche semblait intéressante.

Et pourtant… petit florilège de ce que j’ai pu y entendre :

- « Nous sommes spécialisés dans le top executive … les dirigeants… le top management… » : il n’y a donc que les comités de direction qui recrutent ? Pauvre François Hollande, son inversion de la courbe du chômage n’est pas prête de se réaliser !

- « Mais du coup, avec votre innovation, à qui appartient le client ? » : Je ne pensais pas, peut-être naïvement, que le client appartenait à quelqu’un… A priori, comme au bon vieux temps de l’esclavage, le client est soumis à son acheteur…

- « Mais, prenons l’exemple du recrutement d’un DRH à 300 000 Euros… » Euh, 94% des entreprises françaises font moins de 20 salariés, et la plupart de leur dirigeant se rémunère moins de 5000 Euros par mois. Je ne suis pas sur qu’ils aient les moyens de se payer un DRH à 300 000 euros….

- « Je ne travaille qu’avec des entreprises internationales d’au moins 100 millions de Chiffre d’Affaires… » Il en a bien de la chance… pas sur que ce soit réciproque du côté des entreprises

Ce n’est que quelques exemples de ce que j’ai pu entendre.

J’ai cru avoir fait un bon dans le temps de plusieurs décennies.
Rien n’a changé, que ce soit dans les tenues ou dans les discours.
Nous avons donc bien à faire à un petit groupe de gens qui se complaisent dans l’entre-soit. Heureusement que je travaille avec de vrais entreprises, aux problématiques bien plus terre à terre, et avec des outils modernes.

Ainsi, je ne ressemble pas aux dinosaures que j’ai eu à rencontrer !

Philippe GUITTET
Happy Executive Director

Comme chaque jour, j’écoute avec plaisir et attention la chronique « La vie au bureau » de Laure Closier sur BFM Business. Mais celle de ce Mardi 1er Décembre sur le thème « l’évolution du métier de chasse de tête » m’amène à réagir.

Fondatrice et dirigeante de l’agence de Recrutement MADIRCOM, je suis d’accord avec vous sur le fait que le recrutement « à la papa » est dépassé par les nouveaux modes de vie et par un grand changement du rapport à l’entreprise engendré par la génération Y.

Malheureusement, vous évoquez la chasse de têtes, et peut-être le recrutement en général, au travers de grands groupes côtés au CAC 40. Je le comprends aisément car 90% des quelques 1500 cabinets de recrutement se positionnent sur des postes « executives » où les salaires sont 3 à 10 fois le salaire moyen français.

J’ai pu en faire le triste constat lors d’une récente manifestation de chasseurs de têtes, tous se targuant de chasser du top niveau, aux salaires à 6 chiffres et faisant passer les entretiens lors de déjeuners au Fouquet’s.
Or, 94% des entreprises françaises font moins de 20 salariés, et ceux sont elles qui recrutent !

Et rares sont les cabinets s’intéressant à ces entreprises, ce n’est pas assez glamour…

Parmi elles, il y a des entreprises classiques et des start-ups, et nous avons la chance et l’opportunité de travailler avec elles.

Que demandent-elles ?

Des beaux bureaux dans l’Ouest parisien ? non.

Des déjeuners dans de grands restaurants de la Rive Gauche ? non.

Des honoraires exorbitants par rapport au vrai travail fourni ? Encore moins !

Ce qu’ils veulent, c’est un accompagnement concret au juste prix (entre 2.000 et 5.000 €), compte tenu des salaires proposés, de la réactivité (des candidats présentés sous 10 jours, car ils n’ont pas le temps ni les moyens d’attendre) et de l’accompagnement (car ils ne savent pas exactement ce qu’ils veulent).

Les nouveaux outils de communication ont engendrés de nouvelles habitudes, que peu de chasseurs de têtes « old school » ont appréhendé.

Le marché des chasseurs de tête va bouger sous les effets des nouvelles technologies, des nouveaux outils (recrutement par les réseaux sociaux), des nouveaux comportements (recrutement au succès et non plus en retainer), et d’une situation économique difficile pour un bon moment qui obligent à gagner en efficacité et en productivité.

Madircom a déjà pris le train en marche !
Et vous ?

Amélie FAVRE GUITTET
happy CEO @MADIRCOM